Expertise Windev 5.5 : Comment organiser la migration vers Windev 18 efficacement

Il existe encore des d’applications développées avec Windev 5.5 (version datant de 1999). Il faut dire que c’était une version majeure dans l’évolution de Windev qui a été suivi d’une rupture technologique, lié au passage de l’environnement Windows du 16 bits au 32 bits( à l’époque Windows 95). En effet, entre la version 5.5 et 7, l’environnement de développement Windev a été réécrit en grande partie en 32 bits. Au passage, Windev a bénéficié de nombreuses nouveautés. C’est ce qui explique que les applications développées en Windev 5.5 n’ont pas été migrée tout de suite, car cela nécessitait d’apporter de nombreuses corrections a l’application. En général, une application développée en Windev 5.5, ouverte en Windev 7 ou 7.5 ne fonctionne plus. Il faut la retoucher.

Parmi les nombreuses sources de dysfonctionnement qui apparaissent on peut citer :

- le changement de la portée des variables globales dans les fenêtres
- le fonctionnement des tables
- le fonctionnement du RAD

Rien que ces 3 points nécessitent de parcourir l’ensemble de l’application pour retrouver le fonctionnement d’origine. Dans la phase de test, il faut prévoir de faire tester l’application par un ou plusieurs utilisateurs “pilote”, pour s’assurer qu’il n’y a pas de régression.

Dans certains cas, il est préférable de réécrire toute l’application :

- si des techniques non conformes au standard Windev ont été utilisée, notamment concernant l’accès aux données
- si de nombreuses évolutions sont demandées par les utilisateurs, notamment en matière d’ergonomie et/ou de look and fell.

Pour cela il faut faire une expertise des sources et des perspectives d’utilisation de l’application pour recadrer le projet. Cela nécessite d’avoir une bonne  expérience de programmation en Windev 5.5 et dans les autres versions plus récentes de Windev.

Pour expertiser vos projets en Windev 5.5 ou toute autre version de Windev, contactez nous au 05 49 62 84 94 ou par email info@sealog.fr.